C’est un nouveau revers pour l’accusation du défunt procureur Alberto Nisman. Cette dernière accuse Cristina Kirchner d’avoir couvert des dirigeants iraniens dans l’enquête sur un attentat antijuif de 1994 à Buenos Aires. Dossier sensible sur lequel enquêtait le procureur retrouvé mort mystérieusement début 2015.