Accusé par le Premier ministre de «chantage» et de «dérive», le secrétaire général de la CGT réplique : «Il y a un gouvernement qui est autoritaire, qui refuse tout débat, la démocratie sociale, la démocratie politique, et donc nous avions alerté en disant "le mécontentement va grandir"», lance-t-il ce matin sur BFM TV. «On peut pas nous accuser de ne pas avoir dit "attention, la situation est grave et ça va se poursuivre".»