**Squid Game saison 2 : une épreuve insoutenable**
Dans la nouvelle saison de Squid Game, les participants font face à une épreuve épuisante de plus de neuf heures sans aucune nourriture ni eau, créant ainsi une véritable souffrance pour ceux qui sont impliqués. Cette situation se déroule dans le contexte des coulisses de la série à succès de Netflix, où les conditions de tournage sont à la limite de l'extrême.
**Une mise en lumière saisissante des défis**
Parmi les moments les plus mémorables de cette saison, se trouve l’épreuve connue sous le nom de “pentathlon à six jambes”. Elle illustre l'intention des créateurs de dépasser les normes du genre et d’offrir une expérience à la fois visuelle et émotionnelle bien plus intense. Cette scène rappelle cruellement la vulnérabilité de la vie humaine et la dureté des interactions entre les individus.
**Un parcours d’obstacles éprouvant**
Le tournage de cette épreuve à Squid Game saison 2 s'est révélé être un véritable défi tant physique que mental. Avec 365 survivants de la première saison, les candidats doivent affronter un parcours, intégrant des jeux traditionnels coréens. Ce qui devait être une expérience ludique se transforme vite en un calvaire.
Les participants, immobilisés par les pieds, sont obligés d’accomplir cinq défis successifs sous une pression temporelle, sous peine d'élimination. Ce qui rend cette épreuve si éprouvante, ce n’est pas seulement la complexité des jeux, mais l'attente interminable entre chaque tour. Pendant plus de neuf heures, ils sont privés des choses les plus essentielles : nourriture, eau et accès aux toilettes, mettant ainsi leur endurance physique et leur santé mentale à l'épreuve.
**Une réflexion sur l’absurdité de la situation**
Cette scène a été pensée pour mettre en évidence l’absurde des circonstances auxquelles les participants sont confrontés. Le réalisateur Hwang Dong-hyuk a cherché à transformer des jeux d’enfants en outils de torture psychologique. En forçant les candidats à rester démunis de leurs besoins fondamentaux, il met en lumière la cruauté du système et la précarité de l’existence humaine.