A Bruxelles, le sans-abrisme reste une réalité permanente, bien au-delà des vagues de froid qui marquent l’hiver. Entre manque d’accès à l’eau et abris fermés, l’été, perçu dans l’imaginaire collectif comme une saison « plus clémente », apporte son lot de difficultés et de souffrances. « Le Soir » a interrogé Philip De Buck, Directeur du centre de jour de l’Ilôt situé à Saint-Gilles et Sarah, sans-abri, mère de quatre enfants.