Deux jours après sa démission, Sébastien Lecornu a affirmé que sa «mission» était «terminée» et a confié que «la situation permet au président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures». Selon Gilbert Collard, ancien eurodéputé, «les partis refusent la dissolution par peur d'être battus», mais elle arrivera «inéluctablement.»