En 2024, on comptabilise 515.000 ruptures conventionnelles en France. Il s'agit du mode de rupture de travail qui progresse le plus et qui représente plus de 9 milliards d'euros de dépense à l'assurance-chômage. La majorité des ruptures conventionnelles "remplacent largement des démissions", indique une étude publiée mardi par l'Institut des politiques publiques (IPP). L'Unédic souhaite donc réduire ce mode de rupture