Jafar Panahi, de retour derrière les barreaux ? C’est en tout cas ce que souhaitent les autorités iraniennes. Ce lundi 1er décembre, la justice de son pays a condamné par contumace le lauréat de la dernière Palme d’or pour son film Un simple accident à un an de prison, pour des « activités de propagande » contre l’État.
L’information a été révélée dans un communiqué transmis à l’AFP par son avocat, Me Mostafa Nili. Il s’accompagne d’une interdiction de voyager pendant deux ans, et de toute adhésion à un groupe politique ou social quel qu’il soit durant cette même période.